Accueil | Définition | Syndrome d'asperger | Diagnostic | Agir | A fuir | Témoignages |
Valentin | Forums | Liens utiles |
Livres Formations |
Ecole | Structurer l'espace | Loisirs - Art |
La psychanalyse n'est pas une thérapie efficace pour traiter l'autisme. En découvrant ces livres, vous l'aurez compris, je ne suis pas une fan de psychanalyse. En effet cette méthode n'a aucun fondement scientifique et je n'y accorde pas plus de crédit que la prévision de l'avenir dans une boule de cristal. Ceci dit chacun est libre de consulter les thérapeutes qu'il souhaite pour traiter un de vivre, une dépression.
Dans le cas de l'autisme, ce qui me choque, c'est qu'en France on impose la psychanalyse aux familles comme base thérapeutique dans la plupart des hôpitaux de jour, IME et divers centres médicaux sociaux. Les familles n'ont pas le choix. Or la psychanalyse ne guérit pas l'autisme. L'autisme ne se guérit pas. On ne sort pas de l'autisme.
Utiliser la psychanalyse pour soigner l'autisme est tout aussi stupide que d'utiliser la psychanalyse pour soigner une personne atteinte de Parkinson, de cancer ou du diabète.
Par contre, avec des thérapies éducatives adaptées, on peut aider un enfant atteint d'autisme à faire des progrès pour communiquer et devenir autonome.
L'année 2012 marque un temps fort dans cette bataille contre la psychanalyse avec :
La sortie du film documentaire LE MUR réalisé par Sophie Robert.
En savoir en consultant le blog de soutien du film : www.soutenonslemur.orgLe projet de loi du Député Daniel Fasquelle pour interdire l'accompagnement psychanalytique des personnes atteintes d'autisme.
En savoir plus sur le blog de Daniel Fasquelle.
Le livre noir de la psychanalyse
Vivre, penser et aller mieux sans FreudAuteurs : Jacques Van Rillaer, Didier Pleux, Jean Cottraux, Mikkel Borch-Jacobsen (Auteur),
sous la direction de Catherine MeyerPrésentation de l’éditeur
La France est - avec l’Argentine- le pays le plus freudien du monde. A l’étranger, la psychanalyse est devenue marginale. Quarante auteurs parmi les meilleurs spécialistes du monde ouvrent un débat nécessaire. Pourquoi refuser en France le bilan critique que tant d’autres nations ont dressé avant nous ? Le livre noir de la psychanalyse dresse le bilan d’un siècle de freudisme. Un ouvrage international de référence pour tous ceux qui s’intéressent à l’humain et au psychisme.Biographie de l'auteur
Mikkel Borch-Jacobsen, philosophe, historien de la psychanalyse et professeur à l'Université de Washington. Jean Cottraux, psychiatre des hôpitaux, directeur de l'Unité de traitement de l'anxiété au CHU de Lyon. Didier Pleux, docteur en psychologie, directeur de l'Institut français de thérapie cognitive. Jacques Van Rillaer, professeur de psychologie à l'Université de Louvain-la-Neuve, Belgique.
Mensonges freudiens : Histoire d'une désinformation séculaire
Auteur : Jacques Bénesteau
Jacques Bénesteau est psychologue clinicien, formé aux Universités de Nice, Paris V et Aix-en-Provence. Après vingt-six années de carrière en pédopsychiatrie, il pratique désormais au sein du Service de Neuropédiatrie du C.H.U. de Toulouse et est, depuis 1974, chargé d’enseignement à l’Institut de Formation en Psychomotricité de la Faculté de Médecine de Toulouse-Rangueil.Présentation de l'éditeur
La psychanalyse n’est pas un objet sacré au delà de toute critique et du jugement de l’histoire. Certaines impostures du freudisme ont déjà, depuis longtemps, été dénoncées. Mais depuis un quart de siècle, de nombreuses études historiques fouillées accumulent les données accablantes et dénoncent ce qui apparaît de plus en plus comme une invention mensongère ; voire une escroquerie, et en tout cas comme un prodigieuse rhétorique de désinformation.Les procédés mis en oeuvre remontent au héros fondateur lui-même, sa fabrication de la psychanalyse. Sigmund Freud fut d’emblée un expert qui inventa des patients, une étiologie, et des prétendus effets thérapeutiques. Pas un seul cas traité par Freud n’a pas été guéri ni même amélioré par sa méthode, et tous furent des faillites qu’il érigea en victoires pour l’édification de ses fidèles et la manipulation de ses admirateurs. Ses successeurs ont fait leurs ces procédés, n’exhibant guère des preuves de leurs réussites, tout en tenant des discours fermés à la critique. Solidement organisés en réseaux auto-protecteurs, les psychanalystes se sont solidairement ingéniés à maintenir leur pouvoir et leur mystique, n’hésitant pas à recourir à d’abondantes falsifications. S’appuyant sur les multiples sources curieusement encore inaccessibles en français, ce « Livre noir du freudisme », dans une synthèse iconoclaste, dévoile au grand public des informations et des points de vue nouveaux sur l’état réel du freudisme après un siècle d’existence.
Un mot de l'éditeur
L'ouvrage a reçu à l'unanimité le prix de la Société Française d'Histoire de la Médecine en mars 2003.
Les illusions de la psychanalyse
Auteur : Jacques Van Rillaer
Jacques Van Rillaer est Docteur en psychologie, spécialisé en psychologie clinique. Il est actuellement Professeur à la Faculté de Médecine de l'Université de Louvain et Chargé de cours extraordinaire aux Facultés universitaires St-Louis (Bruxelles).Quatrième de couverture
Il n'est pas rare qu'un psychanaliste admette la non-scientificité de la théorie freudienne et le manque d'efficacité de la cure analytique. Il n'est pas exceptionnel qu'un psychiatre ou un psychologue ayant pratiqué la psychanalyse finisse par abandonner cette méthode au profit de nouvelles techniques. Il est toutefois peu fréquent - du moins dans les pays de langue française - qu'un ex-psychanalyste s'explique longuement sur les raisons de sa déconversion. Jacques Van Rillaer a effectué ce travail de façon lucide et minutieuse. L'auteur est Docteur en psychologie, spécialisé en psychologie clinique. Il est actuellement Professeur à la Faculté de Médecine de l'Université de Louvain et Chargé de cours extraordinaire aux Facultés universitaires St-Louis (Bruxelles). Il connaît la psychanalyse " de l'intérieur " : il s'est soumis aux rites d'initiation (l'analyse didactique, les séminaires, etc.), il a patiemment étudié la théorie psychanalytique, a pratiqué la méthode inventée par Freud, et défendu sa thèse de doctorat sur " l'agressivité dans l'expérience freudienne " ; membre pendant plus de dix ans de l'Ecole belge de Psychanalyse, il sait comment raisonnent effectivement les psychanalystes lorsqu'ils écoutent un patient en ne disant mot et comment les psychanalystes s'expriment entre collègues dans les séminaires spécialisés. Sa critique porte moins sur des aspects secondaires du monde analytique (l'ésotérisme, le sectarisme, le snobisme, l'appât du gain, le goût du pouvoir), que sur les fondements mêmes de la méthode freudienne : la technique des associations libres, les règles de l'interprétation, les bases de la théorie, les principes de la thérapie. De-ci de-là son texte présente un accent ironique ou polémique, mais l'ensemble du livre se situe résolument au niveau du débat scientifique, avec ses exigences de clarté, d'objectivité et de contrôle empirique. La thèse générale de l'ouvrage est celle de bon nombre de psychologues qui ont soigneusement examiné le problème de l'originalité de la psychanalyse : les énoncés les plus intéressants contenus dans l'oeuvre de Freud sont généralement repris à des prédécesseurs (philosophes, médecins, psychologues), tandis que les énoncés typiquement psychanalytiques ne résistent que rarement à un examen scientifique. La démonstration se fait ici à partir des publications que les psychanalystes contemporains considèrent eux-mêmes comme les plus représentatives de leur façon de faire et de penser. Seul un ancien adepte de la psychanalyse, comme J. Van. Rillaer l'a été, pouvait montrer en connaissance de cause comment les fils de Freud, qui se présentent comme les maîtres-penseurs de la démystification, sont eux-mêmes, souvent sans le savoir, des propagateurs, d'illusions et des artisans d'aliénations.